top of page

Presse

 

" Bastien, le maître moh -

. . . Avec un S à mot parce que l'artiste en maîtrise une foultitude. Il en joue, en use, les mêle, les entremêle, les dresse les uns contre les autres. Homophonie, polysémie… un vrai festival !!

Ses chansons ont cette mélodie souple qui se plie sous les mots même si certaines intros sont percutantes avec des moments délicieux, lorsque Bastien joue de la balalaïka d'une manière élégante et subtile. L'élégance… voilà le maître mot de ce chanteur qui emportait le public dans son univers doux amer, gorgé d'une poésie quotidienne.  "

SUD-OUEST

 

                                     -----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

 

"...seul en scène face aux 250 personnes du C.C Jean Carmet, Bastien Moh a rappelé au public un artiste disparu :Boby Lapointe. Soutenus alternativement par sa balalaïka ou sa guitare, ses textes à double sens sont des petits bijoux que n'aurait pas reniés son prédécesseur. Sa chanson "apicole" ou encore celle "d'une heure à l'attendre" en témoignent..."

OUEST FRANCE

                           ----------------------------------------------------------------------------------------------------------------

 

"...non, la chanson française n'est pas morte.

“Un cadre minimaliste, un simple jeu de regards, des déplacements”, Bastien met le corps au service des mots. Les yeux rieurs, le ton charmeur - cet esthète du verbe chante son quotidien. L’amour, la vie à deux, la Loire, internet, les tablettes (si,si), voire ses coups de sang. Des textes bien ficelés et romancés, qui demandent de l’écoute comme peuvent l'être ceux de Juliette ou d'Oxmo Puccino.

Quentin Chevrier (ex-swingSofa) l’accompagne sur scène afin d’apporter une touche plus mélodique. A côté de la guitare et de la balalaïka de Bastien, s’ajoutent donc le violoncelle et la contre-balalaïka. Vous avez dit balalaïka ?
Oui, les musiques du monde ne disparaissent pas. Ils sont très peu en France à jouer de cet instrument, Bastien en est tombé amoureux il y a une douzaine d’années. Les accords de ces luths de forme triangulaire caractéristiques des danses et chansons traditionnelles russes, se posent avec délicatesse sur les jeux de Moh.
Une preuve de plus que la chanson française n’est pas morte. "

ANGERS MAG

 

                                                                                   ------------------------------

 

 

 

 

bottom of page